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Loi Avenir professionnel

Ce qui va changer pour l'apprentissage au 1er janvier 2020.

Les branches professionnelles aux commandes de l’apprentissage

Jusqu’à présent, la gouvernance de l’apprentissage était assurée par les Régions. Désormais, ce sont les branches professionnelles qui piloteront. Ce sont elles qui définissent les référentiels de formation en tenant des compte de l’évolution des métiers. Ce sont encore elles qui vont déterminer les formations qui répondront au mieux aux attentes des entreprises. Et ce sont aussi elles qui vont estimer les coûts des contrats en alternance, en concertation avec leur Opérateur de Compétences (OPCO) et France Compétences*.

L’apprentissage au-delà de 26 ans

La loi pour la liberté de choisir son avenir professionnel permet aux jeunes de suivre un apprentissage jusqu’à l’âge de30 ans. C’est un avantage pour l’apprenti qui peut, via l’alternance, poursuivre des études plus tard, donc souvent plus poussées tout en travaillant et finançant ses études. C’est aussi un avantage pour l’employeur pour qui un contrat d’apprentissage coûte moins cher qu’un contrat de professionnalisation. Un apprenti un peu plus âgé est souvent plus mûr, mieux préparé au monde du travail et parfois déjà formé. Un seul “bémol” pour l’employeur, il coûtera plus cher qu’un jeune apprenti de 16 ou 18 ans.

Des critères de transparence renforcés

Avant la réforme de l’apprentissage, le CFA du Pays d’Aix analysait déjà ses résultats : taux de réussites aux examens, suivi des apprentis post-formation, taux de ruptures de contrats, enquêtes de satisfaction… Déjà détenteur du label Qualité Réseau, comme tous les CFA désormais, le CFA devra publier tous ses indicateurs de performance et obtenir le label Qualiopi d’ici la fin 2020.

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